Comment peut-on soutenir Israël et sa politique génocidaire malgré toutes les preuves accablantes et incontestables que nous disposons ?

Comment peut-on toujours soutenir l’insoutenable et l’intolérable ?

Comment peut-on affirmer qu’Israël est victime de ses victimes ?

Comment peut-on toujours mettre au menu cette même mayonnaise de "la montée de l’antisémitisme" pour criminaliser toute vérité à l’égard d’Israël et de ses soutiens et "justifier" toute répression et interdiction à l’égard des "coupables" ?

Comment peut-on se plaindre de « l’antisémitisme » , alors que nous ne voyons pas dans quelles branches de la société les Juifs seraient discriminés ou interdits ?

Comment peut-on dire autant de contre-vérités et exprimer autant de haine à l’égard d’autres hommes et de ces concitoyens ?

Comment peut-on avoir que des exigences de soumission et de répression à l’égard de ses concitoyens ?

Comment peut-on exiger l’amour des autres avec autant de haine ?

Comment peut-on ne pas voir qu’il n’y a pas qu’une communauté dans la République ?

Comment peut-on toujours, tout ramener aux convenances d’une seule communauté ?

Comment peut-on se croire propriétaire de la République ?

Comment peut-on être autiste à ce point ?

Comment peut-on aussi aimer écouter des catalogues de récriminations à l’égard de ces concitoyens, avec autant de dévotion et y répondre avec autant de zèle ?

Comment peut-on avoir aussi peu de dignité et de décence (ne parlons même pas de respect) à l’égard de ses autres concitoyens, en obtempérant à la moindre récrimination ?

Comment des « élus de la nation » peuvent-ils répondre avec autant de zèle à des exigences de Français contre d’autres Français, en matière d’interdictions, de restrictions de nos libertés et de répression ?

Comment peut-on sans cesse faire des lois disriminatoires, inégalitaires, voire, racistes, spécifiques au profit de certains Français et d’en faire des armes de guerre et de répression contre les droits et les libertés d’autres Français ?

Comment peut-on ignorer aussi superbement à ce point les principes fondateurs de la République qui stipulent que nous sommes « libres et égaux » ?

Ce ne sont là que quelques interrogations à propos de comportements qui restent pour nous une énigme de « la nature humaine », comme celui de se croire « puni », par le fait de n’avoir pas été invité au « Dîner du CRIF »,